La quête du sorcier (groupe)

( Ici, vous posterez lorsque vous serez réuni à au moins deux, c'est le thread des aventures et discutions communes )

Pour le récit, utiliser le blanc par défaut, pour les dials et les pensées que vous souhaitez mettre, choisissez une couleur pour chaque de façon que l'on puisse bien faire la différence.

Le tavernier étant parti vaquer a ses occupation, je choisis d'aller voir le ménestrel, pour apprendre des nouvelles sur l'empire draconnique, et pour lui vendre mon histoire parsemmés d'exploits réels et d'autres inventés pour l'occasion qu'il pourra inserré dans ces chansons.
je remarque l'arrivé dans la salle de nouveaux arrivants.

Vriss suivit l'aubergiste dans la grande salle, après l'avoir remercié de lui offrir une place dans ses écuries.

Elle fut charmée par les notes du ménestrel. Elles étaient douces et joyeuses et lui rapellaient son ile natale.

S'asseyant à une table vide, elle demanda au tavernier une grande choppe de bière aigre et regarda à la ronde. Son regard fut attiré par un grand gailllard vêtu d'un long manteau de chasse qui dénotait parmi les habitués.

Celui-ci a l'air de ne pas être de la contrée... Il pourrait peut-être me dire où trouver un sorcier...

Alors que leurs regards se croisaient, Vriss l'interpela.

Bien le bonsoir, maitre chasseur! Tu as l'air de venir d'aussi loin que moi. Et si la longue route qui nous a amené ici a autant asséché ton gosier que le mien, Que dirais tu de de le réhydrater en ma compagnie ?

La soirée avancait, au fil de la musique le tavenier n'avait pas repointé son nez, je l'avais vu passé plusieurs fois mais toujours fort occupé.
Pourtant je l'avais vu faire monté, une fille de petite vertue, sans doute un service vendu aux riches marchand. Et j'éspérait pouvoir le questionner a ce sujet et peut être pourrais je avoir prix d'ami.
C'est alors que je suis tiré de mes pensées, par une voie féminine qui m'offre un verre et sa compagnie.
Malgrés ma nature solitaire, je n'aurrais su refuser ma présence a une femme surtout si elle m'offre a boire, mais je resterais sur mes gardes car il est courrant que des femmes drogues les hommes en ces lieux pour les voler avant de disparaître dans la nuit.
je m'approchais donc en lui répondant
Bonsoir, charmante dame, c'est avec plaisire que j'accepte votre invitation mais que me vaut l'honneur de l'intérêt que vous me portez ?

Face a la timidité excessive de cette charmante personne, qui avait du m'aborder par plus par nécéssité que par désire, et dans l'attente de savoir ce qui m'avait valu un tel intérêt de sa part.
Je me décidait a rompre la glace, et a lui parler de choses et d'autres
(les saisons qui se dérèglent, la chasse, la grippe aviaire, la disparition de Nay...)
Et de fil en aiguille, et de but en blanc je lui racontait ma vie, l'alcool aidant, je lui parlait de mon enfance malheureuse, et de mon destin de chasseur...
Etait elle morte ou muette ou l'avais-je trop saoulé de parole en tout cas , je n'avais jamais de femme aussi peu bavarde.
Et la nuit avancait, je ne sssavait plus que dire et le tavernier qui tardait et tardait a venire nous servire une bière me laissant ainsi me noyer dans mon flot de parole
(mourrire noyé la gorge sèche c'est grave quand même)

Au moment où le chasseur s'assit à sa table, Vriss eu un terrible choc !

Ses yeux !!!!

Ils avaient la couleur et la profondeur de ceux de l'homme qu'elle avait vu en rêve. Celui qui devait la conduire et la protéger dans sa quête du sorcier...

Vriss en resta sans voix ! Elle avait pourtant tellement de choses à dire, tellement de questions à poser, tellement d'espoir....

Malheureusement ses cordes vocales se refusaient à fonctionner tant l'émotion lui étraignait le coeur.

Mordiul de Biurde !!!! Que va t'il penser de moi ??? Je l'invite à ma table et suis incapable de sortir un mot ! Il va me prendre pour une timide... Une taciturne.... Ou pire encore ! J'avais pourtant tant de choses à lui demander...

Malgré ses efforts infructueux pour retrouver la parole, Vriss se résolût à écouter son hôte sans rien dire, au risque de passer pour impolie.

Heureusement, le chasseur ne semblait pas incommodé de son mutisme et, l'alcool aidant, lui raconta sa vie, son enfance malheureuse, ses exploits de chasseur et maintes autres péripéties...

Vriss l'écouta avec avidité car cela la changeait des petits potins de l'île qu'elle venait de quitter.

Elle songeait à aller se coucher, tout en se disant :

Ce soir il a l'air fin saoûl le chasseur... Mais avec un peu de chance, demain l'émotion sera passée, je retrouverais ma voix, lui son esprit et nous pourrons peut-être parler de mon rêve... Et de ce sorcier que je dois trouver...

C'est alors que le tavernier ressortit de la cave où il était allé quérir quelques bonnes bouteilles....

Aprés avoir tout dit, et vu que le service laissait a désiré, une bière en 6 heures (qui soit dit en passant devait être frolaté ou droguée) vu que j'avais un sacré mal de tête, et qu'elle m'avait rendu euphorique au point de raconté ma vie a une inconnue.
en moi même : l'affreux de germany, dirait que" j'avais un besoin de communication irrationnel, lié au mutisme d'une enfance isolée au fond de la jungle" enfin bref saleté de ale.
Et que cette inconnue semblait épuisée et saoulée de mes histoires.
Je prenait congé d'elle sous prétexe d'aller me rafraichire, tout en lui proposant de se retrouver dans quelques heures pour un copieu petit déjeuné.
Puis me dirigeait vers l'extérieur pour m'y oxygèner, et dans un même temps allé uriner, puis dormir dans l'écurie en effet il n'y a pas de petites économies et au moin les animaux me réveilleront si jamais un danger venait a se présenter.
Aprés avoir fait pleuré abondemment le petit jésus, je fus coupé dans l'élan qui me conduisait vers une paille chaude et confortable.
En voyant ce que je pris d'abord pour une apparition(saloperie de de boisson a bulle a base de céréales fermentées)
Non, en fait c'était la fille de joie qui était montée discrétement a l'étage plutot dans la soirée(serait ce mon soir de chance)


Bonsoir ma demoiselle...

Le chasseur quitta la table. Il avait visiblement un grosse envie de vidanger son eccès de boison.
Au moment où lui proposait de remettre la conversation devant un solide petit déjeuner, Vriss retrouva assez de voix pour lui dire :

- Avec plaisir Maître Chasseur. A demain donc. et que la nuit te soit douce.

Vriss cherchait des yeux l'aubergiste. Il lui avait proposé de dormir dans les écuries et, n'en connaissant pas le chemin, elle aurait apprécié qu'il la guide vers une couche de paille fraîche car le sommeil commençait à se faire sentir...

La soirée tirrait à sa fin, le musicien avait posé son instrument, et se rafraichissait d'une biere avant d'aller lui aussi se coucher. Il était non loin d'un curieux personnage à la peau squameuse, et d'une jeune dame.

Il n'avait pas osé les interrompre dans leur discution, et comme ils avaient décidé, l'un et l'autre d'aller se coucher, il suivi le mouvement, et les revis un peu plus loin dans la cours face à l'écurie.

Mais c'est vous qui venez a moi, aprés avoir partagé une table vous venez partager ma couche ?
et quel est cet ombre qui vous suit ... ne serait ce le ménestrel ?

saisissant discrétement mon couteau, prêt a me défendre contre cette probable menace,
en pensant (drogué,ils veulent me volé ou quoi)

je reprends pour montré qu'ils ne m'effraient pas,
"Que me vaut tant d'intérêt, quel est la suite des évènements, que me voulez vous tous deux....?"

Le ménestrel brandi sa viole devant lui, comme un bouclier.

Je ne vous veux aucun mal, messire !
... et je croyais que la dame était avec vous...

Son regard allait de l'un à l'autre.

... et puis, vous avez voulu me parler tout à l'heure, mais j'étais occupé, il me fallait gagner mon repas et mon gite pour cette nuit.

Mon regard et mon débit de parole étaient ils hipnotiques ou paralisant ?
ou était ce la stupéfaction crée par ma grandeure et mon omnicience ?
pensais-je
mais je me sentais seul dans ce silence qui me semblait durer des semaines